L’idée commune fondamentale est que l’existence de l’inconscient est perçue comme l’épicentre de la vie : c’est dans l’inconscient que prend forme la vie quotidienne et consciente de chaque individu. Dès lors, tout travail de type psychanalytique consiste à établir les liens entre les difficultés actuelles d’un côté et les expériences, les conflits refoulés et non résolus de l’histoire personnelle de l’autre. Le patient est ainsi amené à revivre et à comprendre les significations et l’influence de ses conflits inconscients sur son fonctionnement actuel et à s’en dégager progressivement.
On différencie la psychanalyse de la thérapie analytique, qui utilise les mêmes principes, mais a des objectifs et des cadres différents : la différence entre les deux approches sera le cadre apporté lors d’une séance de psychothérapie. En effet, en psychanalyse, le patient est allongé sur un divan, il est amené à raconter librement tout ce qui lui passe par l’esprit. l’écoute sera flottante, et les associations libres. Le but convenu n’est pas la disparition d’un tel ou un tel autre symptôme spécifique, mais la connaissance de soi et l’acquisition d’un meilleur équilibre existentiel global. C’est à ce titre qu’une cure d’analytique peut durer des années.
La psychothérapie analytique, plus couramment utilisée, a des objectifs définis autour d’une souffrance psychique et des symptômes déterminés. Son cadre est plus structuré, à raison d’une consultation hebdomadaire, en face-à-face avec une durée déterminée. Les séances durent en moyenne quelques mois.
Les consultations en thérapie analytique sont réalisées dans un cadre individuel, la séance est de 45 min.
Comme son nom l’indique la psychothérapie intégrative à le mérite d’associer plusieurs thérapies ensemble. En effet, selon les demandes et les besoins du patient, plusieurs thérapies peuvent être abordées en même temps, ou l’une après l’autre selon l’avancement du traitement. Par exemple, il n’est pas impossible que lors d’une consultation pour traiter une phobie, les thérapies utilisées seront analytiques et comportementales et cognitives.
La thérapie intégrative peut utiliser, la psychanalyse, la thérapie analytique, les TCC, la TERV, la thérapie de soutien, la thérapie de groupe, la sexothérapie, la guidance parentale, la thérapie par exposition, la médiation animale… et bien d’autres outils.
En cabinet, mes méthodes à disposition seront la thérapie analytique, les TCC, la TERV, la sexothérapie, la guidance parentale, la thérapie de soutien et je suis actuellement en pourparlers pour pouvoir apporter en plus mon cabinet une médiation animale, je vous tiendrais au courant de cette avancée.
La thérapie de soutien ou l’approche centrée sur la personne (ACP) a été développée dès 1940 par le psychologue américain Carl Rogers. Elle se veut centrée sur la personne et non sur un problème, une maladie ou encore un symptôme particulier à la différence des TCC, de la sexothérapie, ou la thérapie analytique. Au cours de la séance, le client est écouté avec empathie, dans une relation de confiance et d’authenticité. Le psychothérapeute respecte trois attitudes fondamentales définies par C. Rogers.
Dans le cadre de la thérapie de soutien, les séances se déroulent à travers une écoute empathique, bienveillante sans jugement. La parole sera reçue et soutenue. L’objectif n’étant pas de guider, de driver, de coacher, d’analyser, mais simplement de vous accompagner.
Les séances peuvent être réalisées en individuelle ou en couple, la durée est de 45 min.